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  • Un élevage sans autorisation de 42 chiens a été fermé jeudi à Wierde: les chiens ont été saisis. Pour Cathy, la propriétaire, c'est le drame.

    Ils étaient 42 chiens et chiots dans la propriété de Cathy à Wierde à vivre à l'intérieur et à l'extérieur: 19 bichons et lhassas, femelles reproductrices, mâles et petits dans le jardin. quatre autres mamans et leurs portées dans la cave; deux vieilles chiennes de 16 et 19 ans dans le salon de toilettage; et en haut, dans la cuisine, les trois toutous de la maison.

    Cathy Bonnaillie est toiletteuse pour chiens. Elle a accueilli petit à petit de nouveaux animaux de compagnie.Mais, le hic, c'est que cet élevage était illégal. Cathy ne possède aucune autorisation de la part du Service Public Bien-être animal, comme le veut la législation. Ses demandes ont été refusées, dit-elle.Jeudi, vers 10h, elle nous appelle en urgence: la police est là pour saisir ses chiens. A notre arrivée, nous constatons qu'un fourgon de la police canine est sur son parking avec un inspecteur vétérinaire pour mener les perquisitions. Deux fourgons de la SAPAD (Société d'Aide et de Protection des animaux en Détresse) sont là en renfort.Cet élevage n'a en fait jamais eu aucune autorisation pour exercer. Les deux policiers se tiennent debout, devant le chenil, Cathy hurle, on se bouscule, on se marche dessus, ”Vous ne pouvez pas faire ça ! ” Son compagnon la maîtrise tant bien que mal et la couche au sol.Scène pénible: les chiens sont maintenant évacués vers les cages dans les deux camionnettes de la SAPAD. Chacun embarque un ou deux chiens à la fois, dans les bras, ils ne sont pas très grands, des bichons et des lhassas. Il y a des très petits chiots, d'à peine quelques semaines qu'on emporte par brassée. Cathy ne regarde plus, elle leur tourne le dos, elle est résignée. La SAPAD prend soin de ne pas séparer les chiots de leur mère, Cathy est retournée dans son salon.


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  • Au Québec : Une autre interdiction, méconnue celle-là, guette les propriétaires de chien qui les trimballe dans la boîte de leur camionnette, même s’ils l’y attachent.La Société protectrice des animaux d’Arthabaska (SPAA) a profité d’un accident survenu samedi dernier pour véhiculer le message.C’est que, samedi dernier, une personne ayant recueilli une petite chienne errante l’avait attachée dans la boîte de son véhicule pour l’abandonner à la SPAA.Le hic, c’est qu’à son arrivée dans la cour de l’organisme, la personne s’est aperçue que la chienne avait sauté du véhicule et que, au bout de sa laisse, avait été traînée sur on ne sait quelle distance.Émoi parmi le personnel et les bénévoles de la SPAA. La petite chienne, à qui l’on a donné le nom de la déesse Athéna, une «battante», a survécu à sa mésaventure, mais non sans de multiples blessures.Elle saignait abondamment de partout. Les gens de la SPAA, après l’avoir nettoyée, l’ont amenée à l’Hôpital vétérinaire des Bois-Francs où elle a subi plusieurs opérations. Aucune fracture n’a été détectée. Des traitements d’hydrothérapie sont nécessaires pour les plaies qu’on a pu suturer. Et elle devra passer quelques semaines de convalescence dans une famille d’adoption temporaire.La SPAA rappelle qu’une personne baladant son animal dans la boîte arrière de son véhicule est passible d’une contravention de 146 $ (100$ plus les frais d'administration de 46$).Ce mode de transport est interdit pour la sécurité et la santé du chien.la SPAA a diffusé deux vidéos montrant Athéna avant et après son séjour à l’hôpital. Elle sera prête pour l’adoption à la suite de sa convalescence.


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  • "A Paris, un jeune homme promène tranquillement son jack Russell lorsque celui ci s'enfuit... Ayant déjà fait plusieurs fugues, son propriétaire à équiper le petit animal d'une "puce" implantée dans sa patte et qui grâce à un GPS fournit avec peut donner la position exacte du chien à plus ou moins 500 mètres... Le jeune propriétaire va donc chez lui, s'emparent de son GPS et entreprend des recherches Autour de chez lui..Ces recherches ne donnant pas de résultat, pendant plusieurs jours, il fera d'intenses recherches dans la capitale, toujours rien...Puis, en ce rendant à son travail (toujours équipé du GPS dans son sac) l'appareil se met à vibrer et à émettre une petite alarme sonore, le chien ne doit plus être loin..L'alarme sonore se fait de plus en plus insistante puis, s'affole devant une petite ruelle... Le jeune homme répète à plusieurs reprise le nom de son chien mais sans réponse...L'appareil devient insistant devant une poubelle..Le jeune propriétaire en ôte donc le couvercle et y fait une macabre découverte, la patte de son chien dans laquelle est implantée la puce couverte de sang... La poubelle se trouvait derrière un restaurant asiatique... On n'en saura pas plus sur cette macabre affaire or mis que l'homme doit encore se civiliser !

     


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  • Cavaliers Kings Charles, Chihuahuas, Jacks Russell.... près de 300 chiots de race ont été saisis ce mardi 11 décembre dans un élevage de la Meuse.ces animaux, détenus dans des conditions déplorables, ont aujourd'hui besoin d'aide.Cette opération de sauvetage a été réalisée plus d'un an après le dépot d'une plainte émanant de la Fondation Assistance aux Animaux et l'association Stéphane Lamart.

    Des chiots maltraités et délaissés

    Le propriétaire de cet élevage officiel et reconnu, situé à Cornieville, maltraitait une grande partie de ces jeunes chiens, des Cavaliers Kings Charles, des Chihuahuas, des Caniches, des Carlins, ou encore des Jacks Russell.

    Privés d'eau et de nourriture, les animaux "sont à même le sol sur du carrelage dans des boxes non réglementaires. Ils marchent dans leurs excréments" a raconté Stéphane Lamart lors de l'intervention menée par les gendarmes, en présence de deux vétérinaires et de Mme Zaida Moulay, substitut du procureur du tribunal de Grande instance de Bar-Le-Duc.

    Un appel à la générosité

    La Fondation Assistance aux Animaux va recueillir les chiens secourus aujourd'hui, et leur fournir les premiers soins. Elle lance alors un appel à la générosité, afin de pouvoir acheter de la nourriture et des couvertures.

    Outre la maltraitance dont ces animaux ont été victimes, on soupçonne cet élevage d'être en lien avec un réseau de trafic d’animaux venus des pays de l’Est. Le gérant est aussi accusé de "pratique illégale de la médecine vétérinaire"...


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