• Acquérir un animal, chien ou chat, pour l’abandonner est déjà assez inconcevable. Alors que penser de la maltraitance infligée à certains animaux ? Comme ce petit chien bichon retrouvé dans une poubelle ou ces chiens de race yorkshire dans un piteux état ! 
    Un chien de race bichon a été retrouvé à moitié mort dans une poubelle à Annecy, (Haute-Savoie, 74).
    Très affaibli, victime de maltraitance bien avant d’être jeté dans ce container à ordures, le petit chien n’a donc pas pu pas survivre, malgré les soins prodigués par un vétérinaire de la région.

     


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  • FRIERES-FAILLOUEL (Aisne). Angélique Zakrzewski est en colère. Elle vient de perdre brutalement ses deux adorables dalmatiens, Vanille, 8 ans et Charly, 4 ans. Ils ont été empoisonnés. « Je les ai retrouvés morts dans leur chenil, mardi midi. Ils avaient la gueule bleue et les yeux gorgés de sang. » Les 3 000 m2 de terrain ne suffisaient pas à Vanille et Charly qui avaient tendance à fuguer, en creusant sous le grillage. « Ils revenaient souvent avec des gamelles dans la gueule. Je ne sais pas où ils allaient les chercher. On a demandé plusieurs fois aux voisins, sans succès. Frières-Faillouël est un petit village. Tout le monde savait que les dalmatiens m'appartenaient, jamais personne n'est venue se plaindre. »D'ailleurs si Angélique Zakrzewski reconnaît que ses chiens étaient parfois chapardeurs, elle affirme qu'ils n'étaient « ni méchants ni agressifs ».

    Origine de l'intoxication inconnue

    A-t-on empoisonné intentionnellement Vanille et Charly ou bien ont-ils ingurgité de la mort-aux-rats ou des produits agricoles dont ils n'étaient pas destinataires ? Pour tenter de comprendre ce qui a pu arriver à ces chiens, à défaut « d'avoir l'argent nécessaire pour payer deux autopsies », Angélique Zakrzewski mène sa propre enquête. « A la mairie, il distribue gratuitement de la mort-aux-rats aux habitants de la commune. Je voulais savoir si dans le voisinage quelqu'un en avait pris mais ils n'ont pas voulu me renseigner. » La jeune mère de famille a voulu aussi afficher un appel à témoins, « Au cas où des personnes auraient entendu, vu ou savent quelque chose sur ce qui est arrivé à mes deux chiens. » Là encore, elle a reçu une fin de non-recevoir, pour l'heure.Elle a contacté deux associations protectrices des animaux, la SPA de Laon et Le combat de Lucky. Elle s'est rendue à la gendarmerie hier après-midi pour avertir les autorités. « Je ressens une colère énorme. La perte de mes chiens, ça me fait un manque. Je ne me remets toujours pas. J'ai cinq enfants et ils ne cessent de me demander ce qui est arrivé aux chiens et je ne sais pas quoi leur répondre. »


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